Souffrant mille mots pour les aligner, je suis estomaqué du talent et de la persévérance de ces conteurs des temps anciens. Ecrire, effacer, corriger, modifier est d’une telle simplicité aujourd’hui. Je me vois, tel Stendhal ou Balzac, gribouiller à l’encre baveuse, reprendre  à l’infini chaque maudite page ; recommencer à en oublier le sens premier, perdu sous les pâtés informes et les ratures envahissantes. Ecrivains du 19ème  : 1 – Scribouillards du 21ème : 0.

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog